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la vérité dans la parole simple

22 avril 2010

Vaidéhi- monument de la renaissance: les sénégalais dans leur travers

Pour faire la promotion et donner un peu d’élan à son écran, le DG de la télévision 2stv invite Pallavi Kulkarni. Elle est actrice, protagoniste dans le télé film indien Vaidéhi dont – elle porte le nom. Imbue d’un courage de pharaon devant un Arian Djiézi imbattable, Vaidéhi s’est fait remarquée, aussi, par sa foi envers la déesse Dounka. Elle le supplie en temps de peine.
Les règles du show-biz semblent prédominer sur les valeurs.
Au, Sénégal, il y a un temps pour tous. Mais, surtout un temps pour jouer et se mouvoir dans l’illusion. Avant que les dires sur le monument de la renaissance controversé de Wade ne s’évadent ; on admire et salue la venue de la star indienne. On l’aime et l’adule comme une déesse. L’aéroport de Dakar ne nous démentira pas.
L’ART de discerner nous fille entre les doigts. L’émotivité et le sentimentalisme gouvernent nos actes. Le son et l’image nos seules préoccupations. Ce refrain est bien sénégalais. On serait tenter de donner raison au père Senghor, qui, pour lui l’africain a le rythme dans le sang. Qui aurait cru un accueil si chaleureux à une artiste de télé film sur les terres de Bamba, de Lat Dior ou encore Diamacoune ?
Est-ce une vérité élémentaire ou une lapalissade que de dire que ces bravent hommes se retournent dans leur lit de terre battue ?
L’heur de se mettre à l’évidence n’est toujours pas au rendez-vous au Sénégal. Pourtant, il y est bien ces vérités du Poète : le désir, le rêve et l’espoir.
Pour ce denier cité, qui, apparente à notre fameux slogan « Gueme saa bopp » il semble devenir vain au quotidien des sénégalais. Par conte, une leçon que la première puissance du monde a bien compris (Un peuple de poète). Et on se permet, nous, de dire comme les américains : « lost time is never found again »
On a vraiment le temps !
Espérons que le virtuel soit enseveli avec l’arrivée du mythe Vaidéhi.

M.G.S

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22 avril 2010

L'école sénégalais: le temple réduit en futilité

Malgré, la conjoncture et la lutte acharnée pour la survie, nos parents travaillent d’arraches-pieds pour notre réussite. Cela nécessite biens des efforts. Ils veulent nous voir dans le cercle vertueux des acteurs du jeu de la mobilité social.

Souvent ce qui est apparent dans les classes n’est ce que vous deviner.
Des filles dépigmentées, outrageusement coiffées, des garçons à l’image des gangsters, des écouteurs aux oreilles ; voila l’apanage des futurs intellectuels de notre société. Que faire ?

La compétitivité dans le travail, l’engagement dans la manière de faire et l’effort dans l’action n’obnubilent plus les esprits. D’ailleurs il serait vain de l’affirmer. Alors ce monde si compliqué !

Nos parents dépensent-ils leur argent par devoir de mémoire ?
Par le souci du regard de nous autres ? Où par sentiment ou affection ?
S’ils veillaient au grain à notre quotidien et à l’éducation continue, on s’étonnerait de voir nos pas guidés de l’inconscience et de l’innocence.

Si certains professeurs laissaient « planer » le suspense de la fragilité de jeunes lycéennes, la cours à la beauté serait moins infernale qu’elle ne l’est à présent. Si les mouvements de grèves des syndicats étaient réduits les rendez-vous « curieux » entre camarade ne seraient que de mauvais ou bon souvenirs. En vain.

L’expertise et la compétence de l’école sénégalaise publique tendent vers les nuits de son temps. Et, tous diront à tout de go ils nous ont sacrifié. Mais soyons raisonnable. Si le grenouille n’as pas de queux à qui la faute ?

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